Cet article va vous donner des idées pour stimuler votre business MLM.

Accrochez-vous bien car il ne s’agit pas de se contenter de deux ou trois conseils de base, mais d’une opération « espadon ». Je veux dire, on fait le grand ménage, histoire de briser la torpeur. Et tans pis, si John Travolta m’assigne à comparaître pour tentative de plagiat.

Peut-être que votre activité stagne. Vous ne parrainez plus, ni même vos filleuls de partenaires non plus.

Quant aux ventes, franchement on a va vu mieux, vous dites-vous.

Soit vous avez bien travaillé jusqu’alors, et vous êtes rendu à un pallier où plus rien ne se passe. Soit vous êtes à la peine, impossible de décoller, votre business vous rapporte des clopinettes.

Tout cela est propice à grossir un cortège de doutes et de remises en question.

Et la frustration n’est jamais très loin qui soudain prend la petite voix intérieure : « mais qu’est ce que je fais ici ? » « C’est pas pour moi, j’arrête tout » « Et tous ces cons qui réussissent, j’ai envie de les tarter »

Bon, on se calme ! Le tout premier conseil à entendre concerne votre état d’esprit.

 

LE MINDSET.

J’aime bien Romain Rolland qui fait dire à l’un de ses personnages de roman qu’un héros, c’est celui qui fait simplement ce qu’il peut. Tandis que les autres ne le font pas.

Imputer la responsabilité de ses difficultés à je ne sais qui ou je ne sais quoi (votre société MLM, votre up-line, votre conjoint, vos parents, et la liste est longue) traduit que vous vous en voulez à vous-même. Etes-vous sûr de faire ce que vous pouvez faire ? Si oui, cessez de vous juger.

S’accepter comme on est constitue un vrai défi. Notre époque célèbre au contraire de ressembler à des stars, à des leaders, à des champions dans leur domaine. De cette course à la comparaison, vous en tirerez une conclusion. Vous ne serez jamais satisfait de vous-même. Cette insatisfaction chronique bouffe une énergie colossale.

En fait, il n’est pas illégitime de s’élever au sommet de son art, des honneurs et de sa hiérarchie. C’est juste qu’il est essentiel de rester naturel. Inutile de revêtir le costume d’un autre, dans les chaussures du voisin, affecté d’une allure maniérée qui ne sera jamais la vôtre.

Même les leaders ont connu des échecs et en traverseront de nouveau. Il faut les vivre (ses échecs) comme on accepte ses joies. Je sais, plus facile à dire qu’à faire !

Justement, il n’y a rien à faire. S’agissant de comment vous percevez chaque instant de votre vie, il est judicieux d’être dans un état d’acceptation inconditionnel. Les choses sont comme elles sont.

Cela passe d’abord par s’accepter soi-même, par embrasser ses points forts et ses faiblesses. Parvenu à ce point culminant de s’accepter sans jugement, vous savez qui vous êtes.

Vous savez qui vous êtes quand vous êtes heureux d’être. C’est alors que les contrastes produisent des adaptations remarquables, entendez des solutions inédites. Exemple d’un contraste : « ramer » dans son business et pourtant rester zen.

Etre détaché d’un résultat à atteindre et vouloir l’obtenir en est un autre exemple. D’ailleurs, cela vous procurera plus de chances d’aboutir.

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Associer une tension ou de la crispation à vos buts, vous en éloigne à coup sûr. Car souhaiter atteindre un objectif avec une pression, c’est déclarer qu’on ne l’a pas atteint. Or cette auto-déclaration est une auto-suggestion.

En fait d’état d’esprit, mieux vaudrait plutôt dire état d’être.

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Après avoir lu cet article, lancez-vous ce défi :

Restez zen pendant 3 jours. Pas de jugement, aucune critique, ne râlez plus. 3 jours ! Si vous y parvenez, bravo ! Poursuivez jusqu’à 7 jours.

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Si au contraire, vous avez tenu… 3 heures, alors remettez le compteur des 3 jours à zéro et recommencez jusqu’à ce que vous réussissiez au moins une journée à bannir de votre ressenti les jugements négatifs. Et si le stress est trop grand, peut-être qu’ ici David vous aidera.

Donnez-vous ce but de regarder votre vie autrement. Justement parlons-en.

 

DONNEZ-VOUS CET OBJECTIF D’AVOIR
DES OBJECTIFS.

Quand on compare une journée vécue en 1970 à celle d’aujourd’hui, une différence saute aux yeux et c’est l’explosion des distractions.

En 1970, la télé, la radio, le courrier papier et le téléphone fixe constituaient les seules sources d’interruption de l’attention. En 2022, vous pouvez ajouter le téléphone mobile, Messenger, Facebook, WhatsApp, Pinterest, Instagram, les emails, les bouquets de programmes TV, Google, et le tout en continu, 7 jours sur 7, 24 h / 24.

L’attention est totalement dispersée.

Ce phénomène de société influence dangereusement notre capacité d’attention et donc de concentration sur nos buts.

C’est un fait avéré qu’aujourd’hui l’information circule à la vitesse des atomes dans les tuyaux d’internet. Une opportunité surgit, aussitôt une toute nouvelle apparaît. J’exagère à peine. C’est manifestement évident avec ces concepts dernier cri qui vous présentent la dernière stratégie pour gagner de l’argent sur internet.

Il y a donc un environnement propice à la distraction et à la confusion.

Mais le pire est ailleurs. Aïe ! Qu’est-ce que je vais vous annoncer ?

Je coache bon nombre de marketeurs de réseau, qu’ils viennent d’ailleurs, ou de mes propres équipes. Et force est de constater que 90 % d’entre eux confondent avoir des buts et poursuivre des objectifs.

CONSEIL

PRATIQUE

 

Par exemple, un but serait de gagner 3000 € par mois, au bout d’un certain temps. C’est un but et non un objectif.

Dès que vous dites vouloir ce même montant au terme par exemple de six mois, vous entrez dans un objectif général qui se précise. C’est un objectif opérationnel, car il suppose un plan d’action.

La connaissance détaillée de comment atteindre votre but (le feuille de route) n’est pas un objectif, mais plusieurs.

Retenez bien ceci. Un objectif intermédiaire prépare toujours un objectif final. Un exemple traditionnel d’objectif intermédiaire est de parler avec un nombre donné de personnes, juste parler, sans chercher à les informer sur votre opportunité ou votre produit.

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Vous concentrer sur ce qui prépare un résultat en l'obtenant est aussi un résultat.

 

Naturellement, un objectif qui ne s’inscrit pas dans une période de temps, redevient un but. Ensuite, vous l’aurez compris, une série d’objectifs distincts concourent à la réalisation d’un seul, cet objectif final.

Tâchons de le comprendre avec la recherche de clientèle. Une première étape est décrire le client-type : âge, sexe, profession, etc. Une seconde est de déterminer les endroits où pouvoir le toucher le plus souvent possible.

Rien que ces deux étapes constituent des objectifs intermédiaires incontournables. Passer à côté occasionne une perte de temps phénoménale.

Le fait est que beaucoup s’en tiennent à une vague idée de l’organisation de leur agenda. Certes, ils créent quelques contacts, les invitent à des présentations. D’autres publient des posts sur Facebook. Certains organisent des réunions à domicile. Rien de nouveau, comme on dit, sous le soleil.

Ce qui fait sens est de décortiquer comment vous planifiez tout ça.

  • Savez-vous dès le dimanche soir comment votre semaine va se dérouler, d’heure en heure ?
  • Si vous bloguez, combien d’emails allez-vous collecter ?
  • Si vous publiez sur Facebook, combien de nouveaux amis allez-vous accueillir ?
  • Si vous sortez de chez vous, avec combien de nouveaux numéros de téléphone reviendrez-vous à la maison ?
  • Si vous travaillez avec Linkedin, à combien de personnes enverrez-vous des messages chaque jour de cette semaine à venir ?

La liste est sans fin.

Elle dépend de comment vous structurez vos semaines et de votre plan d’action. En avez-vous un qui vous enthousiasme ? En évaluez-vous les retombées en fin de semaine, tous les mois, toute l’année ?

Vous voyez, nous sommes loin de se lever le matin, sans savoir quel objectif viser dans la journée.

Si tel est votre cas, c’est-à-dire de ne pas savoir comment organiser votre journée, vous avez du taf. Alors voici un conseil qui va vous aider. Identifiez les objectifs intermédiaires qui préparent un résultat final (les parrainages sont un résultat final) et qui soient 100 % atteignables, parce que faciles à accomplir. Sur Facebook, un résultat intermédiaire pourrait être d’engager des conversations avec cinq à dix nouvelles personnes par semaine.

Fixez-vous des objectifs intermédiaires et laissez la vie faire le reste.

Voici un exemple de plan d’action hebdomadaire dont vous pourriez vous inspirer si vous êtes en phase de lancement :

Lundi
1. Création de 7 publications à poster sur Facebook, une pour chaque jour.
2. Suivre 20 personnes (Sur Facebook) que vous ciblez en vue de leur faire une proposition dans un avenir proche
3. Répondre à tous les commentaires sur vos publications, en engageant un début de conversation
4. Envoyez 20 demandes de mises en relation sur Linkedin

Mardi
5. Suivre 25 personnes qui ne sont pas encore vos amis sur Facebook et à qui vous enverrez une invitation à se connecter à votre profil personnel
6. Commencez l’écriture d’un article à publier sur Linkedin ou Medium
+
2. à 4.

Mercredi
7. Soirée Networking avec un club d’entrepreneurs ou de décideurs
+
2. à 5.

Jeudi
8. Déjeuner avec un ambassadeur (quelqu’un qui vous ouvre son carnet d’adresses)
9. Animation d’une réunion à domicile
10. Préparation de la prochaine réunion

Vendredi
11. Traiter les retours des demandes de mise en relation sur Linkedin.
12. Planifier la semaine suivante.
+
2. à 4.

Bien entendu, à cela ajoutez l’animation d’équipe, les temps de formation, les connexions avec votre up-line directe qui doivent être quotidiennes.

 

SAVOIR MESURER SON TRAVAIL.

Qui dit objectif, dit le mesurer. Une des faiblesses principales de quasiment tous les débutants est de manquer de productivité.

Pour être plus direct, ils ne mesurent rien.

Mais ce n’est pas de leur faute, car leurs sponsors ne font guère mieux. C’est vrai que je vois quelques leaders dirent à leurs ouailles « contente-toi d’inviter des gens à la web conférence, et le reste suivra ».

Or c’est crucial de faire le point sur votre efficacité assez souvent. On peut travailler comme un bourrin en faisant de l’abattage, sans se soucier qu’on soit bon ou mauvais, pourvu qu’on parle à des gens tout le temps. Mais l’énergie dépensée contredit le principe-clef de la duplication.

Peu de personnes en effet sont capables d’assumer des résultats riquiquis en dépit d’une implication au taquet. Du moins, pas longtemps.

Ce que j’essaie de vous dire, c’est qu’il est judicieux d’optimiser toutes vos actions ou de les ajuster en fonction du feed-back que vous renvoient vos contacts. Et ce, jusqu’à ce que vous soyez calé sur quelque chose qui ressemble à une méthode.

Durant des années, à Toulouse, j’ai fixé des RDV place du Capitole à des prospects que je voyais pour une présentation d’affaires.

Et je crois avoir tout vu :

  • Des gens qui me posaient un lapin.
  • Certains qui repartaient sans payer leur consommation, au lieu de notre rendez-vous dans un bar.
  • D’autres qui se mettaient en colère parce que je leur présentais un MLM.
  • Des gens qui n’étaient pas intéressés au bout de 5 minutes.
  • Ceux qui me prenaient pour un bonimenteur.
  • Ceux qui me suspectaient d’être membre d’une secte (ils me le disaient carrément).
  • Et puis cette personne qui se prétendait appartenir aux services secrets (attention à mon cul et à ce que j’allais dire).

J’arrête là. De quoi écrire une complète pièce de théâtre…

Heureusement que de temps en temps je tombais sur des personnes qui avaient leur cortex en bon état de fonctionnement. Qu’ils me rejoignaient ou non, ils avaient le répondant de quelqu’un qui examine le potentiel d’une opportunité d’affaires.

Bref, au bout d’un moment qui dura des années, j’en ai eu marre. M’échiner à parler à des murs me renvoya à l’idée que je manquais peut-être de méthode.

Je mis alors en place des procédures de sélection.

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Un principe qui a changé ma vie.

Le but n’est pas de convaincre quiconque que vous avez une opportunité en or, mais de tester les contacts. C’est un renversement de perspective, plutôt sélectionneur que recruteur.

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Du coup, je mesure le nombre de personnes qui passent telle ou telle étape de sélection.

Quelques exemples :

  • Un prospect n’accepte pas une conversation téléphonique, suite à des échanges sur un réseau social, entraîne que j’abandonne ce contact. Next ! Et il ne sait rien de ce que je développe.
  • Un prospect au téléphone décline une proposition d’un nouveau rendez-vous pour un nouvel entretien est une information. Sa motivation est faible. Je le garde en suivi, mais il n’a plus la priorité dans mon emploi du temps.
  • Un prospect ne suit pas tous les entretiens téléphoniques (ou sur Zoom) qu’à l’avance j’ai programmé pour lui, alors je ne le rencontrerai pas physiquement. Gain de temps, d’énergie et d’argent !

Dresser des statistiques de concrétisation me permit aussi de mettre le doigt sur mes failles. Un parrainage sur 15, voire sur 20, c’était pas très glorieux. Un ratio normal serait de 2 sur 10. 1 sur 10 est une limite à partir de laquelle il faut s’interroger sur l’efficacité.

La question est donc : pouvez-vous dire quel est votre ratio global de transformation sur les trois derniers mois ?

Comment voulez-vous mettre de la vitesse si vous ignorez à quelle allure vous allez ? Calculez le nombre de parrainages et divisez-le par le nombre de présentation d’affaires. Et surveillez ce taux en permanence.

Cette démarche est voisine de la gestion du temps. Mettons que vous consacriez dix heures par semaine à votre business. Combien de temps allouez-vous à la recherche de partenaires d’affaires ?
La réponse : un minimum est de 5 heures par semaine, idéalement 8 en phase de lancement.

 

AUGMENTEZ LA PRODUCTION
DE CONTACTS.

Là où le bât blesse chez beaucoup de distributeurs tient dans leur difficulté à créer des contacts autant qu’ils le souhaiteraient.

Les explications sont nombreuses qui éclairent cette question. Nous ne nous y attarderons pas.

L’essentiel est de retenir que prendre conscience de cette difficulté est déjà une étape. Car il faut bien le dire, il m’est arrivé de croiser des personnes persuadées que laisser filer des semaines entières sans rien faire n’impacterait pas leur business.

Imaginez donc quelqu’un gérer une boulangerie et qui durant 3 semaines n’ouvre jamais sa boutique. Ou seulement quand il en a le temps.

Mais je sais. Certains ne savent tout simplement pas quoi faire de leur journée pour avancer dans leur activité. Dans ce cas, pensez « communication massive ».

C’est décisif de fonctionner avec une source de contacts qui vous procure de la profusion. Tant que vous ne l’avez pas trouvée, vous devez la chercher. Et si vous n'avez pas le temps de chercher, considérez cette formation.

CONSEIL

PRATIQUE

Cependant il ne suffit pas de chercher pour trouver. Je le dis à longueur d’année, si vous crash-tester une idée vous la tuez dans l’oeuf.

Je veux dire : n’attendez pas des miracles aujourd’hui d’une méthode découverte hier. Laissez-lui du temps ou plutôt donnez-vous en, avant de rendre un verdict sur l’efficacité d’une technique.

C’est courant qu’il faille attendre six mois, avant de savoir avec objectivité si une approche est correcte pour soi.

Ce sujet est une pure question marketing. Je vous recommande de vous former à devenir marketeur. Le dire ainsi va surement faire bondir au plafond des leaders qui ne jurent que par la simplicité. Alors on se calme et reprenons les choses au début.

Le marketing est d’abord un état d’esprit avant d’être une discipline. Vous pouvez devenir un très bon marketeur sans avoir fait une école de commerce, juste parce que vous en avez le mental.

Je ne vais pas m’étendre sur la psychologie de ces professionnels. Il est seulement utile d’observer qu’un bon marketeur ne se laisse pas guider par les émotions pour prendre une décision ou pour réagir à une situation difficile.

Concrètement, cessez de vous plaindre de tout et de rien, surtout d’un client, d’un prospect, d’un filleul, d’un sponsor. Donnez-vous ce défi durant 17 jours. Zéro jérémiade !

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Quelqu’un ne vous achète rien ou ne vous rejoint pas, ce n’est qu’un résultat
et non un échec.

 C’est sur cette base que la clarté entre dans la pratique de votre activité. Alors, vous pouvez explorer sereinement de nouvelles techniques de prospection. Et gagner en efficacité.

Cela étant, pour augmenter concrètement sa production de contacts, j’ai personnellement découvert une bonne cinquantaine de façons différentes de créer des contacts.

 

FAITES UN TUNNEL DE PARRAINAGE. 

Restons sur cette idée-clef que si vous sélectionnez vos prospects plutôt que de pratiquer dans l’abattage aveugle, alors vous allez gagner du temps, de l’énergie et surtout plus d’argent.

Cela revient à placer des filtres de motivation durant les entretiens avec vos contacts. C’est bien cela, vous testez leur motivation.

Nous n’avons pas le temps ni l’espace pour de longs développements sur la psychologie des prospects. Mais il est clair que faire preuve de psychologie, comme on dit, transformera vos résultats.

Cela m’arrive d’être approché par des distributeurs qui me vantent leur opportunité d’affaires. Assez souvent hélas je constate que la personne ne m’écoute pas, me coupe la parole, me prend pour un imbécile ou devient agressive si je mentionne le concurrent.

Pour en venir à notre idée de tunnel de parrainage, ce même distributeur imagine que je suis intéressé. Comme si j’avais déjà passé toutes les étapes : depuis la prise de conscience d’une idée de business, en passant par des appels à 3, une participation à une web conférence, une recherche approfondie sur google !

Avant de devenir votre partenaire, un prospect traverse des étapes.

Cela peut prendre quelques jours à … quelques années.

Il est judicieux de déterminer à quelle étape se situe votre contact, car ainsi vous lui dites que ce qu’il a envie d’entendre au bon moment et vous ne le brusquez pas.

Par exemple, quand vous vous connectez avec une personne, interdit de lui parler de votre MLM !

Vous installez d’abord une relation. C’est une étape. Or il existe une bonne dizaine d’étapes.

C’est cela un tunnel de parrainage.

Pour en savoir plus, vous pouvez vous inspirer du spécialiste francophone des tunnels en MLM : Meryl Camus.

Bien entendu, ce tunnel varie selon la méthode de prospection et la nature de votre offre.

Mais le principe reste le même : déterminez les transitions et respectez-les.

Un autre exemple ou plutôt un magnifique contre-exemple est d’approcher un illustre inconnu, de lui demander un numéro de téléphone, de faire une mini présentation d’affaires et de montrer un produit. Et le tout, au même moment.

Ce télescopage est nuisible.

Il suffirait seulement de récupérer un numéro de tel, sans avoir strictement rien dit ni de votre produit ni de votre opportunité d’affaires. Et de rappeler la semaine suivante (2ème étape) votre contact, afin de prendre un rdv (3ème étape) en vue d'un entretien approfondi (4ème étape).

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Je vous recommande, pour l'avoir suivie moi-même, cette formation 
donnée par le spécialiste francophone des tunnels de vente en MLM.


DÉVELOPPEZ UNE CULTURE DES APPELS
À 3 DANS VOTRE ÉQUIPE.

Et j’allais ajouter dans le titre : ou laissez choir les gens qui ne jouent pas le jeu.

Quiconque veut démarrer tout seul et se débrouiller sans sa up-line a virtuellement abandonné l’activité.

Même les plus aguerris au MLM ont besoin de leur sponsor, quand ils débutent dans une nouvelle société.

99 % des débutants commettent des erreurs. Si ils ne s’appuient pas sur leur up-line pour conduire des entretiens, c’est mort !

C’est la raison pour laquelle il est souvent recommandé de simplement inviter des contacts à des présentations publiques. Malheureusement, et selon mon humble avis, la plupart de ces présentations publiques sont peu professionnelles. Elles « grillent » les contacts de nos chers débutant qui s’efforcent d’en trouver et de les y inviter.

Une solution consiste à organiser des conférences téléphoniques entre tous vos contacts et quelqu’un d’expérience de votre up-line : les appels à 3.

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À retenir

Les équipes où les appels à trois sont légion se développent plus vite que toutes les autres.

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Si vous jugez toutefois votre sponsor peu à la hauteur, montez d’un niveau. Allez chercher plus haut le leader qui acceptera tous les appels à 3 que vous organiserez. Et si votre up-line est aux abonnés absents, laissez tomber cette société. Changez-en. Personne ne réussit tout seul dans son coin ou si difficilement qu’il vous faudra assumer d’attendre de longues années avant d’en vivre.

Identifiez au moins 5 personnes d’expériences avec qui réaliser des appels à 3. Si l’une d’elles n’est pas disponible, une autre prendra le relais. Diversifiez les compétences des unes et des autres. Choisissez un spécialiste du produit, un technicien du plan de rémunération, un expert du MLM, un autre avec un revenu mensuel à 5 chiffres, si possible un leader proche de l’équipe de direction, etc.

Sitôt l’ensemble de vos contacts en relation directe avec ces personnes méritoires, votre business prendra de la vitesse. C’est une vraie technique de développement rapide.

ULTIME ÉTAPE D’UN TUNNEL
DE PARRAINAGE : LE SUIVI.

Je prétends que lorsqu’on suit bien ses prospects, avec rigueur et méthodologie, vous multipliez par 2 à 3 vos parrainages.

Le problème de beaucoup, c’est la pratique d’une prospection Cleenex. J’invite, j’attends, je jette !

Si un prospect ne signe pas tout de suite, on le relègue dans les oubliettes du disque dur de son ordinateur. Quel dommage, quel gâchis !

J’aime bien cette expression « être à midi » qui décrit la motivation d’une personne prête à vous rejoindre. Or certains sont à onze heures, d’autres à neuf heures et même à minuit.

Il faut accepter que des prospects à onze heures aient besoin de six mois pour être à… douze heures. Assez souvent d’ailleurs, vous avez semé une graine dans leur esprit. Elle pousse en silence dans leur tête. Et si vous l’arrosez de temps en temps – entendez si vous suivez cette personne – un jour cela devient une belle fleur. Prête à être cueillie.

Je me souviens d’avoir croisé des vétérans de la vente. Des super vendeurs qui ne prospectaient JAMAIS. Mais comment donc faisaient-ils ?

Ils mettaient en fiche chaque personne avec qui ils étaient en contact, sans en oublier une seule. Au bout de dix ans, vingt ans, cela produisait un méga fichier de contacts. Qu’ils prenaient soin d’entretenir et de qualifier. A la fin, ils n’avaient plus besoin de prospecter.

Naturellement, on parle de milliers d’adresses. Et c’est un travail quotidien que de gérer ça.

Pour en revenir à l’objet de cet article – faire une différence en 17 jours – reprenez votre agenda. Prenez des nouvelles des personnes vues depuis les douze derniers mois. Peu importe qu’elles n’aient pas donné suite à votre proposition. Vous ignorez où elles en sont au jour d’aujourd’hui.

Si vous pouvez remonter jusqu’à 24 mois, c’est encore mieux.

D’où la nécessité de conserver les agendas…

Ensuite, équipez-vous. Travaillez avec des outils de suivi. L’idéal est de fonctionner avec un CRM, un logiciel de gestion de fichiers de clients. Mais ce n’est pas à la portée de tout le monde. Dans ce cas, un tableur de type Excel peut faire l’affaire.

Une solution logicielle est celle de Systeme.io, grâce à la gestion des tags. Bref, il est décisif d’avoir une vision claire de votre fichier d’adresses.

 

Concluons…

Doubler vos résultats signifie donc comptabiliser les résultats intermédiaires. C’est Martin Latulipe qui dit dans une de ses vidéos : les amateurs se fixent des objectifs, les professionnels fonctionnent avec des rituels. Il faut donc en finir avec le « tout, tout de suite, sinon rien » !

Doubler vos résultats veut dire également révolutionner votre suivi. Cessez de travailler seul. Passez le relais à des personnes d’expérience de votre up-line. Les appels à 3 sont un accélérateur de business incroyable.

J’imagine que si vous êtes consciencieux, parvenu à ce stade de la lecture de l’article, vous avez plein de questions. C’est normal. Poursuivez en quelque sorte cet article en laissant des commentaires !

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